La polaire est une matière chaude et douce, si douillette et agréable au toucher qu'on a envie de la toucher à tout moment. C'est à partir de ce tissu que sont cousus les couvertures et autres textiles préférés des enfants pour la maison, les vêtements pour enfants et pour la maison (barboteuses, couches, maillots de corps, pyjamas, robes de chambre), les combinaisons de sport isolées, les manteaux demi-saison, les vestes, les vestes ou les chemises pour hommes. . Il est même utilisé pour la fabrication de couvre-pieds pour soldats (c'est là que l'on peut certainement apprécier les caractéristiques de ce tissu) et comme matériau de rembourrage dans la production de meubles.
D'ailleurs! Le vélo sert à fabriquer des chaussures. Il s’agit d’un excellent matériau isolant idéal pour les bottes d’hiver.
La veste est hygiénique et hypoallergénique, absorbe l'humidité et est bien ventilée. Il dure longtemps, ne change pas de forme et ne nécessite pas de soins complexes.
L'inconvénient du tissu est que les produits fabriqués à partir de celui-ci perdent leur éclat d'origine après plusieurs lavages. Cependant, c'est là que s'arrêtent les inconvénients.
Au début du XVIIIe siècle, le vélo fait son apparition en Russie. C'était un tissu en laine de couleur marron. D'où le nom : « badius », qui en latin signifie « marron clair », « marron ».A cette époque, les redingotes et les vestes de maison étaient confectionnées à partir de cette matière. Un peu plus tard, à la fin du XVIIIe siècle, d'autres couleurs apparaissent notamment, puis on commence à produire de la flanelle noire, blanche et même à carreaux.
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la technologie de production a changé : comme alternative à la laine, ils ont appris à utiliser le coton, qui ne l'a pas complètement remplacé, mais a créé une saine concurrence et a rendu le tissu fini moins cher.
Bien qu’une flanelle de laine soit encore considérée comme de meilleure qualité, il est encore courant aujourd’hui de produire ce tissu à partir de coton. C'est aussi naturel, mais le tissu qui en est fait n'est pas aussi chaud qu'on le souhaiterait. De plus, une petite quantité de matière synthétique, la viscose, est souvent ajoutée au vélo. Cela n'améliore pas ses caractéristiques de qualité, bien au contraire, mais cela rend la toile encore moins chère.
Vous pouvez comprendre que le tissu est bon par les signes suivants :
La production de vélos est aujourd’hui un processus entièrement automatisé. Le tissu est fabriqué sur des machines utilisant deux méthodes de tissage : sergé et uni. Le matériau obtenu après le fonctionnement de la machine n'est pas encore un vélo à part entière, mais son ébauche. Son apparence n'est pas présentable, mais il est résistant à l'usure et doux, donc même sous cette forme, il peut être utilisé. Le coût de ce tissu est inférieur à celui d'un tissu entièrement fini.
La production ultérieure du vélo idéal comprend quatre étapes : le nettoyage, la teinture, l'impression (si un design est prévu) et le traitement final.
Le tissu fini est un tissu dont le tissage est à motifs fins ou grossiers.La teinte de la toile peut être n'importe laquelle : du blanc neige au noir charbon. Un vélo multicolore avec des dessins d'enfants parfois drôles est magnifique.